En réalisant des travaux photographiques d'inventaires de la Biodiversité entomologique dans le Parc du Morvan (ou avec le CRGB -Centre de Recherche pour la Gestion de la Biodiversité- lequel opère essentiellement en Afrique), la lecture du livre ancien de Brehm devient VRAIMENT passionnante.

      Oui, la lecture apporte réellement des notions autrement inimaginables. La lecture du livre Les Insectes rapporte à notre époque la réalité d'un monde, pas si lointain, où les scènes commentées sont alors vraiment curieuses. Lire les commentaires des premiers naturalistes sur les populations d'insectes installées dans la capitale a de quoi surprendre. Les invasions et autres références entomologiques dans la grande capitale (et dans la nature environnante) ne sont pas causées par ces motifs anthropiques -provoqué ou aggravé par l'action de l'homme- que nous avons depuis peu en référence). La biosphère évolue ici en dehors de la pollution anthropique moderne et montre alors des originalités que nous avons du mal à croire de nos jours. Parfois, la nuit, certains insectes sont si nombreux que l'on croirait que le brouillard nimbe déjà la ville. Mais le brouillard est vivant, preuve qu'une vie qui existe par dessus les hommes...


      La lecture du livre ancien de Brehm, n'est pas un exercice plus ou moins nostalgique et historique, mais, réellement un apprentissage pour comprendre comment existe une biosphère.